Glossaire

Vous trouverez ici des explications sur des notions rencontrées à travers ce site

La bible de HCFR : http://www.homecinema-fr.com/bible/

Formats des gravures sonores

Extraits du manuel du Yamaha RX-V2500

Corrections de champ sonore

Extraits du manuel du Yamaha RX-V2500

Informations relatives aux signaux sonores

Extraits du manuel du Yamaha RX-V2500

Informations relatives aux signaux vidéo

Extraits du manuel du Yamaha RX-V2500

Le balayage entrelacé

Le balayage entrelacé, utilisé depuis toujours dans les standards de télévision PAL,SECAM et NTSC, ne fait apparaître qu’une ligne horizontale sur deux. Cette technique a été mis au point pour permettre la transmission des images par voie hertzienne. Le téléviseur balaie tout d’abord les lignes impaires (la 1ère trame) puis les lignes paires (la 2ème trame), à raison de 25 fois par seconde pour chaque trame. Par conséquent seule la moitié de l'image s'affiche en même temps. C'est notre persistance rétinienne qui se charge du reste. Cela se traduit par un scintillement de l'image, source de fatigue occulaire, mais surtout par une baisse de qualité de l'image particulièrement visible avec des sources vidéos comme le DVD.

 

Le système d'image vidéo est composé de 480 lignes. Sur un DVD classique, cette image est décomposée en deux trames (une trame paire et une impaire). L'affichage de ces deux trames l'une après l'autre, en deux balayages successifs, entraîne un léger scintillement de l'image, conséquence de l'entrelacement des trames. Ce signal vidéo est aussi nommé "signal 480i" (i pour interlaced). Ce système de deux trames entrelacées constitue le standard de toutes les sources vidéo grand public. Seul varie le nombre de points par ligne, en fonction de la définition de la source. Le système 480i est donc un signal vidéo classique.

Le balayage progressif

Grâce au balayage progressif l’image est désentrelacée. Toutes les lignes sont affichées successivement de haut en bas de l’écran comme une image de cinéma. Elles composent une image en formant une seule trame et sont balayées 50 fois par seconde. Pour bénéficier de la qualité Progressive Scan, il faut associer un lecteur DVD et un afficheur proposant cette technologie.

Les 480 lignes composant l'image vidéo sont affichées les unes à la suite des autres, de haut en bas et en un seul balayage. Par opposition c'est un affichage non entrelacé, cet affichage progressive est aussi nommé  480p (p pour progressive). Il résulte de ce procédé une image dont la définition est purement et simplement doublée : la fréquence du signal vidéo passe alors de 15,5Khz à 31Khz, nécessitant l'utilisation, soit d'un téléviseur compatible Haute définition disposant d'entrées vidéo composante HD, soit un projecteur acceptant un doubleur de ligne, ce qu'ont tous les projecteurs LCD et DLP, car ceux-ci ne peuvent projeter qu'une image désentrelacée. Pour sortir un tel signal vidéo progressif d'un lecteur de DVD, il est nécessaire d'utiliser sa sortie vidéo composante, autrement appelée YUV.

Plus de détail ici

Articles

J'ajouterai ici au fur et mesure des articles qui approfondissent certaines notions décrites dans le Glossaire

Définitions

Certaines définitions sont issues du site http://fr.wikipedia.org ou du site http://www.commentcamarche.net/

A  B  C  D  E  F  G  H I  J  K  L  M  N  O  P  Q  R  S  T  U  V  W  X  Y  Z

A

 

B

 

C

Contraste : écart de luminosité entre les hautes et les basses lumières

Corps noir : en physique, le corps noir est un modèle utilisé pour représenter le rayonnement électromagnétique (infrarouge, lumière) d'un objet en fonction de sa température. Il est défini comme étant un objet absorbant totalement la lumière à toutes les longueurs d'ondes. Contrairement à ce que son nom suggère, un corps noir n'est pas nécessairement noir mais émet de la lumière dont le spectre dépend uniquement de la température. Le nom corps noir a été introduit par Gustav Kirchhoff en 1862.

D

 

E

 

F

 

G

Gamma : on appelle facteur gamma le critère définissant le caractère non linéaire de l'intensité lumineuse d'un élément. Ainsi la luminance d'un écran d'ordinateur est non linéaire dans la mesure où :

Afin de remédier à cet effet et obtenir une reproduction satisfaisante de l'intensité lumineuse, il est possible de compenser la luminance en appliquant une transformation appelée «correction gamma».

H

 

I

IRC : l'indice de rendu de couleur ou IRC est la capacité d'une source de lumière à restituer les différentes couleurs du spectre visible sans en modifier les teintes. L'indice général de rendu des couleurs Ra détermine la qualité d'une lumière à partir de l'indice de rendu de 8 couleurs normalisées. L'indice maximum Ra=100, correspond à une lumière blanche ayant le même spectre que celui de la lumière solaire (voir rayonnement du corps noir).

L'IRC est, avec la température de couleur, le second facteur permettant de qualifier une source de lumière

J

 

K

Kelvin : le Kelvin (symbole K, du nom de Lord Kelvin) est l'unité SI de température thermodynamique. Le kelvin est la fraction 1/273,16 de la température thermodynamique du point triple de l'eau (H2O), et une variation de température de 1 K est équivalente à une variation de 1°C. Toutefois, à la différence du degré Celsius, le kelvin est une mesure absolue de la température qui a été introduite grâce au troisième principe de la thermodynamique. La température de 0 K est égale à -273,15°C et correspond au zéro absolu (le point triple de l'eau est à +0,01°C). N'étant pas une mesure relative, le kelvin n'est jamais précédé du mot « degré » ni du symbole « ° », contrairement aux degrés Celsius ou Fahrenheit. Conversion vers les autres unités :

L

Luminosité : désigne la caractéristique de ce qui émet ou réfléchit la lumière. C'est la quantité de lumière émise ou renvoyée vers notre oeil. Une teinte claire possède un indice de luminosité important, ainsi le blanc correspond au maximum de cet indice, le noir au minimum

M

 

N

 

O

 

P

 

Q

 

R

 

S

Saturation : exprime la pureté de la couleur, c'est-à-dire l'absence de gris et de tons intermédiaires.La saturation d'une teinte correspond à la quantité originelle de couleur contenue dans sa composition. La saturation d’une teinte correspond à la quantité originelle de couleur contenue dans sa composition. Plus il y a de couleur pure dans la teinte, plus son degré est élevé, la teinte moins saturée est celle dont la couleur naturelle est la plus diluée (par exemple : le rouge contenu dans le rose pâle).

T

Teinte : la teinte est la représentation de la couleur, par exemple : rouge,orange, jaune, vert, bleu, indigo, violet, dont on peut apprécier son appartenance selon qu’elle est proche ou éloignée d’une autre couleur.

Température de couleur : permet de déterminer la couleur d'une source de "lumière blanche". Elle se mesure en kelvins. La couleur d'une source lumineuse est comparée à celle d'un corps noir théorique chauffé entre 2 000 et 10 000 K, qui aurait dans le domaine de la lumière visible un spectre d'émission similaire à la couleur considérée. La couleur apparente d'une source lumineuse varie du rouge orangé d'un soleil couchant (2000 K) au blanc bleuté d'un ciel boréal (10000 K). Cette variation de couleur de la lumière dans une même journée n'est que difficilement reproductible par la lumière artificielle et souvent avec des appareils complexes et coûteux. Elle relativise la notion de normalité de la lumière naturelle. Pour apprécier l'aspect et la qualité de la lumière il convient d'associer à la température de couleur l'indice de rendu de couleur ou IRC, chiffre entre 0 et 100 qualifiant le respect des couleurs. Différentes températures de couleur :

U

 

V

 

W

 

X

 

Y

 

Z